Alors que la mode est au « personal branding », aux blogs et aux réseaux sociaux, quels sont les moyens d’agir du coach pour aller croquer la pomme ? Et si d’aventure le monde se fait désirer comment gère-t-il ses frustrations ?
Et vous, quelles sont vos stratégies pour assouvir votre besoin d’être ?
Coaching, thérapie (spécialement narrative) peut être une vision erronée de ma part, j’y vois si peu de différence.
Votre dialogue avec André me parle.
« Thérapeute, très jeune débutante » ainsi me définit mon superviseur, j’ai envie de répondre à votre question.
Je cultive mon jardin en m’initiant à la narrative via une thérapie « réelle » avec une « cliente », également en multipliant les conversations thérapeutiques… et en créant des liens, que je sens enrichissants, dans d’autres domaines.
Il ne serait pas beau un jardin dans lequel ne pousserait qu’une seule espèce de plante.
La vie est diversité.
Cordialement
Merci Françoise.
Au sortir de ce bel été qui a donné à ceux qui l’ont osé l’opportunité de goûter pleinement au contact avec la nature (soleil, terre, mer, montagne), j’aime votre métaphore jardinière !
Humains, si humains, nous avons besoin de nous renouveler, de quitter de temps à autres nos vieilles peaux, de muer, d’évoluer…
Sans diversité nous nous étiolons et mourons à petit feu comme la terre qui jamais n’est mise en jachère ou souffre de monoculture.
Bien à vous.
Stéphane
Votre réponse me touche… merci de ce petit tour dans mon jardin… j’y ajoute chaque jour de nouvelles plantes… fleurs, légumes… fruits….
Il fait bon y vivre ! Je laisse la porte ouverte.
Bien à vous.