Chemin, temps et pratique aidant, le coach pose un à un les oripeaux dont il croyait devoir se parer pour s’affirmer dans sa pratique. Ce faisant il avance pas à pas à la rencontre de lui-même et… de son client.
15/02/2010 par Stéphane Einhorn - coach & moi
Chemin, temps et pratique aidant, le coach pose un à un les oripeaux dont il croyait devoir se parer pour s’affirmer dans sa pratique. Ce faisant il avance pas à pas à la rencontre de lui-même et… de son client.
J’aime bien l’idée pour ma part l’idée que le coach ne marche pas devant son client mais juste un pas derrière lui et que c’est le client qui guide. En tout cas, c’est l’une des idées de la posture décentrée. J’aime bien aussi l’idée que cette métaphore spatiale du coaching comme un chemin soit remplacée par une autre, plus axée sur le ressenti et le corporel remis à la disposition du client, recyclé par le coach en quelque sorte pour son profit.
Merci pour la référence à l’article-fleuve sur mon site. Cela me motive à le terminer, peut-être en faire un livre, vu le volume. Merci encore.
Alain